This is a demo store. No orders will be fulfilled.
Botanique
Le desmodium est une plante herbacée, commune dans les lieux humides et ombragés des régions tropicales et subtropicales d’Amérique, d’Afrique et d’Inde. Ses tiges minces, recouvertes de poils fins, longues et rampantes ont tendance à s’enrouler autour des troncs des palmiers à huile. Les feuilles alternes sont composées de trois folioles obovales ; la foliole centrale est plus développée que les deux autres folioles latérales. Les fleurs, de petite taille et de couleur blanche à violet clair, donnent naissance à des fruits, des gousses articulées de couleur verte. Les feuilles sont les parties utilisées en phytothérapie.
L'origine du nom du Desmodium adscendens provient du grec desmos, qui signifie « lien » ou « faisceau », en allusion aux étamines qui se réunissent en tube à leurs extrémités, et d’adscendens, qui représente les propriétés des parties aériennes à ascensionner les troncs des palmiers à huile dans les lieux humides et ombragés. Cette plante est bien connue dans toutes les régions tropicales et subtropicales d’Amérique, d’Afrique et d’Inde, où elle est utilisée de manière intensive pour ses bénéfices santé. Au Ghana, le desmodium est ainsi largement utilisé pour la santé des voies respiratoires.
Principales indications
Favorise le bon fonctionnement hépatique
Associations de plantes avec DESMODIUM Feuille
- Bouleau verruqueux bourgeon
- Chardon marie
- Curcuma
- Piloselle
- Plantain
Avertissements d'usage
Précautions d’emploi et contre-indications
Par mesure de précaution, l’emploi chez les femmes enceintes et allaitantes et chez l’enfant (- 12 ans) est déconseillé.
Ces données, non exhaustives, sont issues de la littérature scientifiques. Elles peuvent être amenées à évoluer dans le temps en fonction de nouvelles données
Références bibliographiques
Afficher les références bibliographiquesRastogi et al., 2011, An ethnomedicinal, phytochemical and pharmacological profile of Desmodium gangeticum (L.) DC. and Desmodium adscendens (Sw.) DC., Journal of Ethnopharmacology, 136(2):283-296