This is a demo store. No orders will be fulfilled.

MELILOT partie aérienne

Melilotus officinalis

Botanique

Le mélilot est une plante bisannuelle des terrains calcaires ou légèrement salés, à racines fibreuses et blanches. Les tiges, de 0,5 à 1 mètre, portent des feuilles trifoliées. Les fleurs, jaunes, odorantes, visibles de mai à septembre, sont réunies en grappes allongées. Les fruits sont des gousses contenant des graines. Commun en Europe et en Asie tempérée, le mélilot pousse dans des endroits secs et pauvres et jusqu’à 2200 mètres d’altitude.

L'origine étymologique du mélilot provient du grec meli qui signifie « miel », et de lôtos, « lotus », « fleurs à miel », très recherchées par les abeilles.

Principales indications

En rapport avec son action veinolymphatique et vasculaire
  • Aide pour la bonne circulation du sang dans les microvaisseaux
  • Contribue à diminuer les sensations de jambres lourdes
En rapport avec son action relaxante
  • Aide à faciliter le sommeil et la qualité du sommeil
  • Contribue à accélérer l'endormissement
MELILOT partie aérienne

Associations de plantes avec MELILOT partie aérienne

Vigne rouge

Avertissements d'usage

Précautions d'emploi et contre-indications

Les seuls effets indésirables signalés avec le mélilot sont des maux de tête, des troubles gastrointestinaux et parfois des troubles du foie. Un surdosage peut entraîner des vomissements.

Toxicité hépatique de la coumarine à partir de 0,1mg/kg/jour.

Déconseillé aux femmes enceintes.

Les femmes allaitantes sont invitées à prendre l’attache d’un professionnel de santé avant toute complémentation.

En l’absence de données, avant l’âge de 18 ans, éviter de consommer un complément alimentaire contenant une préparation à base de cette partie de plante. Réservé à l’adulte.

Le mélilot est contre-indiqué pour les personnes souffrant de problèmes de foie et en cas d'hypersensibilité aux substances actives.

Interactions médicamenteuses

Du fait de la présence de coumarines, le mélilot peut interagir avec les plantes et les médicaments qui fluidifient le sang (anticoagulants). Lorsque l’on prend ce type de traitement, il est préférable de s’abstenir de prendre du mélilot.

Ces données, non exhaustives, sont issues de la littérature scientifiques. Elles peuvent être amenées à évoluer dans le temps en fonction de nouvelles données

Références bibliographiques

Afficher les références bibliographiques
1 Casley-Smith JR, Wang CT, Casley-Smith JR, Zi-hai C. Treatment of filarial lymphoedema and elephantiasis with 5,6-benzo-alpha-pyrone (coumarin). BMJ. 1993; 307: 1037- 41.
2 Casley-Smith JR, Morgan RG, Piller NB. Treatment of lymphedema of the arms and legs with 5,6-benzo-[alpha]- pyrone. N Engl. J Med 1993; 329:1158-63.
3 Casley-Smith JR, Casley- Smith JR. Treatment of lymphedema by complex physical therapy, with and without oral and topical benzopyrones: what should therapists and patients expect. Lymphology. 1996; 29: 76-82.
4 Farinola N, Piller N. Pharmacogenomics: its role in re-establishing coumarin as treatment for lymphedema. Lymphat. Res Biol 2005; 3: 81-6.
5 Casley-Smith JR. Benzopyrones in the treatment of lymphoedema. Int Angiol. 1999; 18: 31-41.
6 Wichtl M, Anton R. Plantes thérapeutiques. Tradition, pratique officinale, science et thérapeutique. 1999.
7 Bruneton J. Pharmacognosie, Phytochimie, plantes médicinales. Paris: 1999.
8 Hoult JR, Paya M. Pharmacological and biochemical actions of simple coumarins: natural products with therapeutic potential. Gen Pharmacol. 1996; 27: 713-22.
9 Plesca-Manea L PAPMTMBRPM. Effect of Melilotus officinalis on acute
inflammation. Phytotherapy Research 2002; 16: 316-9.
10 Burgos A, Alcaide A, Alcoba C et al. Comparative study of the clinical efficacy of two different coumarin dosages in the management of arm lymphedema after treatment for breast cancer. Lymphology. 1999; 32: 3-10.
11 Zhang L, Jiang G, Yao F et al. Growth inhibition and apoptosis induced by osthole, a natural coumarin, in hepatocellular carcinoma. PLoS. One. 2012; 7: e37865.
12 Abraham K, Wohrlin F, Lindtner O, Heinemeyer G, Lampen A. Toxicology and risk assessment of coumarin: focus on human data. Mol Nutr Food. Res 2010; 54: 228-39.
13 Vidal - le mélilot. 2013.